Pour vacciner les enfants menacés par une épidémie de rougeole au centre du Mali, les agents de santé n’ont pas seulement affronté les routes boueuses lors de la dernière saison des pluies: ils ont dû négocier leur passage auprès des groupes jihadistes qui tiennent les villages sous leur coupe.
« D’abord ils ont catégoriquement refusé. Pour eux, les vaccins sont des vecteurs de maladies », raconte Moussa, responsable d’une ONG malienne dont l’AFP a changé l’identité pour des raisons de sécurité.[Lire l'article en intégralité]
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