Quelques jours après l’annonce du gel de l’aide américaine, Hellen Anyango a compté ses stocks avec fébrilité. Début février, il lui restait trois boîtes d’antirétroviraux (ARV), soit une semaine de ce traitement indispensable pour vivre avec le VIH, que cette Kényane a contracté il y a 19 ans.
« Si je ne les prends pas, je ne peux pas aller bien », s’inquiète auprès de l’AFP cette mère de quatre enfants de 43 ans depuis sa modeste maison dans un village du comté de Kisumu, dans l’ouest du Kenya.[Lire l'article en intégralité]
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