A Toronto, au Canada, l’impulsion à l’origine de la construction d’un projet de prévention des inondations extrêmes causées par le changement climatique, d’un coût de 1,4 milliard de dollars canadiens (900 millions d’euros), remonte à un ouragan dévastateur survenu en 1954.
Mais ses planificateurs affirment que la prise de conscience sur sa nécessité s’est renforcée au fil des ans, et notamment avec les récentes inondations meurtrières au Texas.
Le projet Port Lands a reconnecté la rivière Don – qui traverse cette ville, la plus peuplée du Canada – au lac Ontario, au sud de la métropole, plus d’un siècle après leur séparation lors de la création d’une zone industrielle.[Lire l'article en intégralité]
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