Avant d’accéder ou non à une demande d’aide à mourir, un médecin devra convoquer une réunion avec a minima un spécialiste et un soignant qui donneront leur avis, ont décidé jeudi les députés.
La version initiale de la proposition de loi d’Olivier Falorni (Groupe MoDem) prévoyait que le médecin, après avoir vérifié que la personne remplit bien les critères d’éligibilité au droit à l’aide à mourir, recueille obligatoirement « l’avis écrit » d’un médecin spécialiste de la pathologie et d’un auxiliaire médical ou aide-soignant intervenant dans le traitement du malade.
Mais les députés ont estimé, à une large majorité (112 contre 61) que la procédure devait être davantage collégiale, en votant un amendement du député Horizons et ancien ministre de la Santé Frédéric Valletoux, soutenu par le gouvernement et M.[Lire l'article en intégralité]
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