3
« A Maracaibo, on est prêt pour l’apocalypse », dit une blague souvent répétée par ses habitants. Jadis florissante, la capitale pétrolière vénézuélienne, ébranlée par la crise, s’est habituée à vivre avec les coupures d’eau et de courant, comme avec les pénuries d’essence.
Résidences, écoles, commerces, églises ou centres de santé creusent désormais pour construire des puits et pallier le manque d’eau.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/