Yaourts, pâtes, mais aussi fromages, glaces ou saucissons : de plus en plus de versions hyperprotéinés de produits déjà commercialisés envahissent les rayons des grandes surfaces, bénéficiant d’un marketing très poussé malgré leur faible utilité pour la santé.
« C’est vraiment une déferlante », assure Matteo Neri, directeur d’études chez Xerfi. Entre 2020 et 2024, le chiffre d’affaires des produits hyperprotéinés – porté principalement par les yaourts et les skyrs – est passé d’environ 70 à plus de 380 millions d’euros.[Lire l'article en intégralité]
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