À perte de vue, la Réunion offrait lundi les mêmes paysages de chaos, d’hectares de champs de bananes ou d’ananas dévastés après le cyclone Garance qui a fait quatre morts et provoqué des dégâts considérables pour l’agriculture vivrière.
« Les vergers sont détruits, il va falloir attendre des années pour relancer » la production, commente Olivier Fontaine, président de la chambre d’agriculture de ce département ultra-marin.
« Et donc pas de production, pas de revenus, c’est une très grosse catastrophe » pour cette île de l’océan Indien de près de 900.000 habitants, balayée vendredi par des vents à plus de 200 km/h et de très fortes pluies orageuses.[Lire l'article en intégralité]
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