Apparu en juillet dans une province de l’ouest de Cuba, le virus du chikungunya s’est propagé ces dernières semaines dans toute l’île, avec un nombre de cas en forte hausse, dans un contexte de grave crise économique marquée par des pénuries de médicaments et de nourriture.
« J’ai mal partout » et « je ne peux pas marcher », se lamente Pilar Alcantara, 81 ans, qui vit seule dans le quartier de Jesus Maria, à La Havane, depuis le canapé de son salon où elle est alitée depuis plusieurs jours.
L’octogénaire a été une des dernières à contracter le virus dans son pâté de maison, où certains habitants, tombés malades il y a un ou deux mois, se plaignent encore de séquelles, notamment de douleurs articulaires, typiques de cette maladie.[Lire l'article en intégralité]
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