« C’était comme si je n’avais plus d’oxygène »: les neuf millions d’habitants de Hanoï, la capitale du Vietnam, subissent au quotidien la dégradation de la qualité de l’air, faute de politiques efficaces s’attaquant aux racines de la pollution.
Devant la persistance du smog qui recouvre la mégapole, Tran Thi Chi a préféré quitter la maison du centre qu’elle habitait depuis plus d’une décennie, pour s’installer à une cinquantaine de kilomètres plus loin.
« L’air à Hanoï était devenu tellement épais que c’était comme si je n’avais plus d’oxygène », explique cettefemme de 54 ans, employée dans la communication.[Lire l'article en intégralité]
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